Huelga presentar al autor, figura capital de la bibliografía de la Sierra de Guara desde que publicara "Por las rutas del silencio" en 1976 (ver ésta y otras en la página Documentación).
LAS RUTAS DEL SILENCIO
Un tournant a été marqué dans un monde qui meurt... Et cette impression d'une civilisation originale qui s'éteint dans le grand creuset aveugle de la vie moderne, nous la retrouvons à chaque pas... Hier notre guide nous a montré dans le ravin de Barrasil une multitude de champs de blé grands comme de mouchoirs de poche; les paysans les ont patiemment taillés sur la pente abrupte désempierrée, défrichée, au prix souvent d'une heure de marche; il fallait cela pour nourrir des villages surpeuplés. Mais d'année en année la jeunesse s'en va, attirée par le développement industriel de Lérida et de Barcelone. Et les champs suspendus retombent en friche... Abandonnée aussi l'eau salée d'une fontaine que l'ont faisait évaporer au soleil pour avoir sa provisions de sel, les falaises de calcaire et de gypse dont on tirait la chaux et le plâtre, -"un plâtre bien meilleur que celui qui nous vient maintenant de Madrid". Louis Laborde-Balen, 1965
Mais réduire l'intérêt de cette montagne aux pittoresques étrangetés visibles (...) serait trahir la vraie nature de ce massif. Parce que dans ce coin retiré de hautes terres, l'ambiance prévaut toujours sur le paysage. L'obsession de l'eau rare, une communion intime avec la pierre torturée, cette solitude sans partage, voilà qui constitue, au fond, l'attrait réel de ces lieux; voilà aussi les test grâce auxquels la sierra de Guara reconnaîtra les siens! Pierre Minvielle, 1966
Nous nous reposons examinant les lieux. En contrebas, 300 m environs, l'on voit où l'on devine le fond du barranco. Des ramiers que nous envions se poursuivent dans l'étroit couloir de 3 à 4 m de large qui serpente à travers falaises et redents. 100 m plus haut, la cassure s'élargit, d'immenses gradins montent vers nous, par endroit le calcaire gris, bleu ou rouge fait place au vert profond du buis et des lentisques. Au travers surgit une forêt d'aiguilles où les choucas slaloment sans problème. Plus haut, presque à la crête terminale, impassibles, souverains, des couples de vautours ont entrepris une ronde qui va s'élargissant. L'ont resterait là des heures, pas un bruit, pas un cri, si ce n'est de braillards choucas procédant à quelque élection. Nul ne parle, comment dire ce que nous ressentons, décrire ce que nous voyons... Christian Abadie, 1971
Existir en la memoria es una de las formas más poderosas de existencia que conocen los humanos (...) Y ya se sabe que la nostalgia es una expresión suave y resignada del miedo. Sergio del Molino, 2016
martes, 23 de abril de 2024
NUEVA PUBLICACIÓN
Huelga presentar al autor, figura capital de la bibliografía de la Sierra de Guara desde que publicara "Por las rutas del silencio" en 1976 (ver ésta y otras en la página Documentación).
domingo, 28 de enero de 2024
SIN PINTORES, PERO CON CUCHAREROS
El recuadro izquierdo sitúa a Portellada Alta, el de la derecha a Portellada Baja. Sobre ambas Portelladas ver otra entrada anterior aquí. |
Ya intentamos entonces subir hasta él, pero tras trepar una canaleta decidimos volver con material adecuado para contar con mayor seguridad. Y allí hemos estado hoy, 28 de enero de 2024. Cuántas veces lo hemos visto, de cerca y de lejos.
Este es el acantilado que se extiende entra ambas Portelladas, siendo esta imagen tal y como se ve desde a Portellada Baja. El recuadro señala el abrigo y la flecha el acceso a la misma. |
Este es el abrigo visto desde cerca con el itinerario de subida. |
El covacho de la primera reunión. En su vertical se ve la canaleta del primer largo (un par de pasos de III). |
La travesía del segundo largo (también un par de pasos de III). |
Foto izquierda: las flechas naranjas señalan parte de la raíz aflorando del suelo, firmemente sujetas.
lunes, 22 de enero de 2024
CUANDO EL MONTE SE VIENE ABAJO (II)
El recuadro rojo señala la zona afectada por el desprendimiento. Recuadro naranja: Bozacal d'os Gatos (ver aquí). Doble flecha azul: Fajana Baja de Faxasclosas. Doble flecha rosa: Fajana Alta de Faxasclosas. |
Como se ve en la foto el desprendimiento tuvo lugar en lo alto del acantilado que separa las dos Fajanas de Faxasclosas (ver aquí).
La flecha roja de la foto anterior señala el lugar del desprendimiento, fácilmente distinguible en la imagen más reciente. No hace falta un gran desprendimiento para dejar una buena señal de su paso. Comparando ambas fotografías se ven muy bien los desperfectos ocasionados. Como tantas otras veces, el tiempo lo cicatrizará y la vegetación reordenará la imagen del lugar.